Galion Impact
Les 42 solutions pour améliorer l’impact des entreprises de la tech
LA MISSION
CHIFFRES CLÉS
Insights de ce guide
31%
des émissions de gaz à effet de serre proviennent des transports
37%
L'allongement de la durée de vie des ordinateurs portables de 2,5 à 3,5 ans réduirait de 37% l'impact sur les émissions de gaz à effet de serre du parc des terminaux (source ADEME, chiffres clés climat, air, énergie, 2018)
71%
des consommateurs pensent qu'il est important que les entreprises adoptent une position forte par rapport aux causes d'intérêt général
31%
des émissions de gaz à effet de serre proviennent des transports
37%
L'allongement de la durée de vie des ordinateurs portables de 2,5 à 3,5 ans réduirait de 37% l'impact sur les émissions de gaz à effet de serre du parc des terminaux (source ADEME, chiffres clés climat, air, énergie, 2018)
71%
des consommateurs pensent qu'il est important que les entreprises adoptent une position forte par rapport aux causes d'intérêt général
RÉSUMÉ
Avec le soutien de :
Devenez membre pour accéder à l’intégralité de la publication
Accéder à l’intégralité du guide et recevez ses mises à jour
Partager le guide
En 2019, The Galion Project publiait les Galion Impact Solutions pour répondre à une conviction : la contribution de l’entreprise à la société est devenue un levier de croissance incontournable. En proposant 45 solutions expérimentées par les membres du Galion pour améliorer l’impact économique, social et environnemental de l’entreprise, nous souhaitions accélérer cette prise de conscience chez les entrepreneur.e.s et faciliter leur passage à l’acte.
<span class="text-size-medium"> Voir les 42 solutions </span>
Pourquoi publier une nouvelle édition, un peu plus d’un an plus tard ?
D’abord parce que faire de l’impact un sujet récurrent est la condition pour qu’il devienne dans l’écosystème un KPI de croissance aussi évident que le turnover des équipes ou l’EBITDA.
Ensuite, parce que nous tenons à faire de nos publications des outils collectifs et évolutifs, pour que chacun s’approprie le sujet et fasse partie de la solution.
Et, bien sûr, parce que la crise pose plus que jamais la question de la responsabilité des entreprises. En bousculant l’ordre des choses, elle nous a tous mis face à des questions essentielles : quel ordre du monde souhaitons-nous pour demain ? Comment allons-nous consommer, produire, travailler ? Quel sens voulons-nous donner à notre action ? Ces questions, nous nous les posons tous en tant que dirigeants, salariés, clients, investisseurs ou partenaires.
Et puis, en nous éloignant les uns des autres, la pandémie a aussi révélé que ce qui nous liait au sein de l’entreprise – les réunions, la convivialité, les échanges informels – nous était indispensable. Elle nous a fait ressentir intimement que l’entreprise est avant tout un groupe de personnes, et l’humain sa véritable richesse. Et si le financement et l’innovation sont essentiels pour faire face à la crise majeure que nous traversons, ce sont les femmes et les hommes qui seront le moteur de la reprise, et la clé de la résilience des entreprises.
Lors de la 1ere édition, nous avions mis l’accent sur la responsabilité environnementale. Dans cette 2e édition, les membres du Galion ont enrichi les solutions pour l’impact social des entreprises. Non pas parce que l’environnement est devenu un sujet secondaire : au contraire, il commence à devenir une évidence pour les entreprises. Mais parce que tout commence par l’humain.
Notre engagement pour l’impact aux côtés de The Galion Project
L’année 2020 restera pour nous tous une année très particulière. Les bouleversements que nous avons connus m’incitent à accélérer nos réflexions sur notre rapport à la croissance et la place que nous donnons à l’être humain dans la création de valeur.
Depuis longtemps, je suis convaincue que nos modèles de croissance doivent évoluer. Pour cela, la notion de capital doit être enrichie et intégrer, en complément du caractère financier, l’idée que la richesse des entreprises et des pays est également fondée sur les hommes et femmes qui les composent.
C’est cet actif intangible, très estimable, que nous nommons capital humain.
Le capital humain n’est pas une simple constante économique, c’est un concept vivant que nous abordons dans le cadre des évolutions technologiques actuelles. Il est au fondement de nos sociétés et c’est pourquoi nos équipes de recherche macroéconomique en ont fait un sujet d’étude. Leurs analyses aboutissent à la théorie suivante : l’innovation accélère l’obsolescence des compétences individuelles et il convient ainsi de les réévaluer et de les renforcer continuellement.
Ces travaux mettent en avant l’importance du capital humain comme moteur de la performance collective. Ils sont ainsi une vraie source d’enthousiasme tant ils confirment notre intuition première sur le rôle primordial de l’humain comme facteur de croissance à long terme. La technologie n’est pas destructrice de valeur, elle exacerbe en revanche l’importance d’accumuler du capital humain, pour obtenir, sur le long terme, une croissance pérenne et inclusive.
Cette réalité ouvre des champs nouveaux, notamment en termes d’investissement. Nous sommes impatients de les explorer avec chacun d’entre vous et de participer, ensemble, à l’émergence d’une nouvelle façon d’aborder la performance.
NOS SUGGESTIONS
Ceci pourrait également vous intéresser
Les membres du collectif The Galion Project ont accès à toutes les ressources et contribuent à nourrir l’intelligence collective du Think Tank.